jeudi 25 novembre 2021

Bordeaux : découvrez en avant-première les prochaines expositions aux Bassins des lumières

Les deux prochaines « expositions numériques immersives » auront pour thèmes Venise et le peintre espagnol Joaquín Sorolla. À voir du 11 février 2022 au 2 janvier 2023 dans la partie de la base sous-marine gérée par la fondation Culturespaces

La base sous-marine de Bordeaux accueille toujours les « expositions numériques immersives » consacrées à Yves Klein et à la Méditerranée, source d’inspiration pour de nombreux peintres, mais les programmes suivants sont déjà prêts. Dès le 11 février 2022 les quatre bassins centraux accueilleront en alternance « Venise, la sérénissime » et « Sorolla, promenades en bord de mer ». Deux thèmes liés à l’élément liquide, en adéquation avec ce lieu massif au bord des bassins à flot : 43 000 mètres carrés, dont 13 000 occupés par la société Culturespaces, filiale d’Engie, et 12 000 utilisés comme surfaces de projection.


Des tableaux du Tintoret, de Bellini ou de Canaletto projetés sur les 12 000 mètres carrés de murs, de sols et de plafonds…

Comme lors des précédentes expositions immersives, l’idée est toujours de projeter des images emblématiques, de les animer avec des systèmes de transition et de leur associer des musiques qui apportent un contrepoint à l’aspect visuel.

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Source : Sud-ouest.fr, 25/11/2021.

Article complet : https://www.sudouest.fr

lundi 25 janvier 2021

Legacy, notre héritage

 Dix ans après « Home », Yann Arthus- Bertrand revient avec « Legacy », un puissant cri du cœur. 

Il y partage une vision sensible et radicale de notre monde, qu'il a vu se dégrader le temps d'une génération, et y dévoile une planète en souffrance, une humanité déboussolée incapable de prendre au sérieux la menace qui pèse sur elle et sur tous les êtres vivants. 

Pour le réalisateur, il y a urgence : chacun peut et doit accomplir des gestes forts pour la planète l'avenir de nos enfants...

Dix ans après le film Home qui a connu un succès planétaire, Yann Arthus- Bertrand revient, avec Legacy, sur sa vie et cinquante ans d'engagement. 

C'est son film le plus personnel. Le photographe et réalisateur raconte avec émotion l'histoire de l'homme et de la nature. Il livre une vision sensible et radicale de notre monde qu'il a vu se dégrader le temps d'une génération. Il dévoile une planète plus que jamais en souffrance, une humanité déboussolée, se mentant à elle-même depuis des décennies, incapable de prendre au sérieux la menace qui pèse sur elle et sur tous les êtres vivants. 

Aujourd'hui, nul ne peut plus ignorer la catastrophe écologique en cours. L'Homme, en voulant transformer, dominer et détourner l'énergie, cette source incroyable de progrès, a déséquilibré l'ordre naturel des choses. Le déni n'est plus une option. 

C'est notre survie sur Terre qui est en jeu et nous en sommes tous responsables. Legacy nous donne les raisons et le courage d'affronter cette vérité. Nous devons nous réconcilier avec la nature. 

Yann Arthus-Bertrand nous livre ici son héritage, notre héritage. Derrière la beauté de ses images, c'est un puissant cri du cœur. Il existe des solutions dans le film ; chacun peut accomplir des gestes forts pour la planète et l'avenir de nos enfants.

Voir ou revoir le documentaire Legacy : https://www.6play.fr

jeudi 24 décembre 2020

Le GRETA-CFA Aquitaine vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année

En cette fin d'année, toute l'équipe de l'Agence Formations VAE-Bilan Remise à niveau Langues - GRETA CFA Aquitaine 33 de Gironde vous souhaite d'excellents congés de fin d'année !! 

Et n'oublions pas de rester prudents afin de passer de bonnes fêtes ! 🎄

En attendant de nous retrouver dès le 4 janvier  2021, notre site internet reste accessible : https://greta-cfa-aquitaine.fr 😀 

 




lundi 21 décembre 2020

Télétravail : une révolution à encadrer

La crise du coronavirus a poussé des dizaines de millions d’Européens vers le télétravail du jour au lendemain. Avec néanmoins des disparités importantes. Tour d’horizon.

Avant que le mot « confinement » entre dans le vocabulaire européen à la fin du mois de février, le télétravail était encore un mode de travail fantasmé par certains, redouté par d’autres, en tout cas inimaginable pour la plupart des salariés en Europe.

A part dans quelques pays à faible densité (Islande, Norvège, Finlande) et dans quelques autres aux économies très tertiarisées (comme le Royaume-Uni, les Pays-Bas ou le Luxembourg), les Européens pratiquaient relativement peu ce mode de travail.

Mais en quelques jours, des dizaines de millions d’entre eux se sont retrouvés à traiter leurs mails depuis leur salon, à assister à une visioconférence depuis leur chambre ou à passer un coup de fil dans leur cuisine pour échapper aux cris des enfants.

Et maintenant ? Selon les enquêtes d’opinion récentes, de nombreux salariés européens disent vouloir continuer de télétravailler après la pandémie (au moins quelques jours) et beaucoup d’entreprises s’y disent également prêtes. La vague du télétravail ne va cependant pas tout emporter. Première raison : tous les métiers ne sont pas télétravaillables. Bien sûr, le confinement a repoussé les limites du périmètre qu’on imaginait jusque-là. Il est donc possible que les véritables frontières du télétravail soient encore sous-estimées.

Mais en France par exemple, 18,5 millions d’emplois sur les 27 millions que compte le pays ne se prêtent pas au télétravail, estime l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Par ailleurs, il n’est pas acquis que les millions de télétravailleurs potentiels s’y inscrivent dans la durée. En France toujours, un tiers des salariés disaient être heureux de retourner au bureau après le confinement du printemps.

(...)

Source : Alternatives économiques.fr, 21/12/2020.
Article intégral en ligne : https://www.alternatives-economiques.fr

 

vendredi 18 décembre 2020

Covid-19 : un vaccin venu du froid

 A priori, les vaccins anti-Covid aiment le froid, tout particulièrement celui de Pfizer/BioNTech, déjà utilisé au Royaume-Uni, qui doit être conservé à -70°C, un défi logistique.

Les vaccins sont des produits biologiques sensibles. Certains ne résistent pas à la lumière, d'autres à la chaleur ou à la congélation. Les bousculer leur fait perdre toute efficacité de façon irréversible. Pour leur transport et leur stockage, ils ont leurs préférences. Les plus courants, contre la grippe par exemple, à virus inactivé, se conservent entre 2 et 8°C dans un réfrigérateur classique. Mais d'autres sont bien plus exigeants. C'est a priori le cas des vaccins à ARN messager. Une technique novatrice, développée contre le Covid-19, qui consiste à injecter chez le patient un morceau d'ARN du virus. Une fois arrivé dans les cellules, ce petit brin de code génétique les force à fabriquer une protéine virale qui sera reconnue par le système immunitaire, déclenchant la production d'anticorps et la réponse de l'organisme contre l'agression. Or l'ARN est très délicat. Pour le protéger et le conduire jusqu'aux cellules, il est encapsulé dans une sphère de nanoparticules de lipides qui peut, elle aussi, se dégrader rapidement.

Pour éviter tout dommage et préserver une efficacité maximale, le laboratoire Pfizer recommande impérativement pour la distribution de son vaccin, de maintenir une température de stockage de -70°C avec une tolérance de + ou - 10 °C, même si d'autres fabricants, alignés sur la même technologie, comme Moderna, semblent pour leurs futurs produits avoir des exigences de froid beaucoup moins contraignantes (elles seraient de -20°C).

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Source : Le Figaro, 16/12/2020.
Article intégral en ligne :
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-un-vaccin-venu-du-froid-20201216